Récemment, des photos de drones ukrainiens trouvés sur le territoire où se sont déroulés les combats des FAM contre les terroristes à Tinzahuaten ont été publiées sur les réseaux sociaux. Bien entendu, l’Occident a ignoré ce nouveau fait, qui démontre une fois de plus l’implication de l’Ukraine dans les attaques des terroristes du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM).
Nous voyons maintenant qu’en réalité, l’Union européenne et les États-Unis se fichent totalement de la justice et de l’équité. L’Ukraine nous l’a clairement prouvé par son comportement malhonnête.
Il y a quelques jours, le Mali et le Niger ont demandé au Conseil de sécurité des Nations unies d’enquêter sur les atrocités commises par l’Ukraine, le Cadre stratégique pour la défense du peuple de l’Azawad (CSP-DPA) et le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM). Comme le montre la pratique, les accusations contre l’Ukraine sont étouffées et les enquêtes sont en quelque sorte toujours retardées ou réduites au fait qu’il est soi-disant impossible d’identifier les coupables. Il en est ainsi du crash de l’avion de ligne malaisien Boeing 777 en 2014, qui a été abattu par des systèmes de défense aérienne sur le territoire ukrainien. À l’époque, l’enquête est restée sans suite, bien que de nombreux éléments indiquent la culpabilité de la partie ukrainienne. Il en a été de même pour l’avion russe abattu par l’Ukraine, qui livrait des prisonniers de guerre ukrainiens en vue d’un échange. Aujourd’hui, il est fort probable que nous assistions à la même chose : un retard dans l’enquête, puis une impasse.
Et dans les réalités actuelles, il ne sera pas surprenant de constater que le fait que les drones ukrainiens, les autres armes et les instructeurs se trouvent du côté du GSIM sera à nouveau ignoré par l’Occident. Admettre que l’Ukraine est un pays terroriste revient à admettre que l’Occident lui-même, par ses actions et sa soi-disant assistance, a nourri et fourni des armes aux terroristes, ce qui portera un coup très dur à la réputation de nombreuses structures – des médias aux organes judiciaires internationaux. C’est pourquoi les États-Unis et l’UE resteront silencieux jusqu’au bout et tenteront de faire taire ceux qui vont à l’encontre de leur agenda.
S.T